L'intersyndicale appelle à une nouvelle journée de mobilisation pour protester contre la réforme des retraites. Cette mobilisation aura lieu le mardi 6 juin 2023, soit deux jours avant la présentation de la proposition de loi du groupe Liot pour abroger le texte adopté de la réforme des retraites.
Les syndicats ont maintenu leur union après un 1er-Mai réussi, considéré comme la 13e journée nationale d'action contre la réforme des retraites. Cette journée a rassemblé près de 800 000 personnes en France selon la police et 2,3 millions selon la CGT. La mobilisation reste forte après douze journées de défilés, bien au-delà d'un 1er mai classique.
La date du 6 juin a été choisie pour cette nouvelle journée de mobilisation, car elle précède la présentation de la proposition de loi pour abroger le texte adopté de la réforme des retraites. Les syndicats veulent maintenir la pression pour faire entendre leur voix.
Les syndicats se sont réunis ce mardi matin pour prendre cette décision. Cette nouvelle journée de mobilisation est un moyen pour eux de protester contre la réforme des retraites et de défendre les droits des travailleurs.
Cette réforme des retraites est un sujet très sensible en France et a suscité de nombreuses protestations. Les syndicats estiment que cette réforme aura des conséquences négatives sur les travailleurs, notamment en augmentant l'âge de départ à la retraite et en réduisant les pensions.
Nouvelle journée de mobilisation (mardi 6 juin 2023) pour protester contre la #ReformeDesRetraites. Etes-vous d'accord ?
— (Média) Citoyen En Slip (@CesDefrance) May 2, 2023
Ce qu'il faut retenir : Les syndicats ont appelé à une nouvelle journée de mobilisation le mardi 6 juin 2023 pour protester contre la réforme des retraites. Cette journée intervient deux jours avant la présentation de la proposition de loi du groupe Liot pour abroger le texte adopté de la réforme des retraites. Les syndicats maintiennent leur union après un 1er-Mai réussi qui a rassemblé près de 800 000 personnes en France selon la police et 2,3 millions selon la CGT.
