Saisissez la chance d’embellir et d’optimiser votre bien immobilier ! Le gouvernement, avec sa nouvelle stratégie pour MaPrimeRénov’, promet un souffle novateur à la rénovation énergétique des habitats français. Dès le premier jour de l’an 2024, ce dispositif, précédemment orienté vers des initiatives individuelles, se métamorphose pour privilégier les projets de grande envergure. Un pas de géant pour le confort domicile et l’environnement.
Une vision renouvelée pour les logements énergivores
Les logis affichant des étiquettes F et G sur leur diagnostic de performance énergétique (DPE) sont désormais dans le viseur gouvernemental. L’enjeu ? Accélérer leur rénovation grâce à des aides plus ciblées et substantielles. MaPrimeRénov’ fait peau neuve et se consacre exclusivement aux chantiers d’ampleur, marquant une évolution notable depuis sa création en 2020. Durant ces années, sur deux millions de rénovations, seules 210 000 ont été des réhabilitations globales. Une statistique que le ministère de la Transition énergétique envisage de renverser.
Les appartements classés sous-performants ne sont pas laissés pour compte. Les copropriétaires pourront toujours prétendre à des aides pour des actions ponctuelles améliorant leur score DPE. Le programme MaPrimeRénov’ Copropriétés s’inscrit dans cette continuité, consolidant son soutien à la rénovation collective. À cela s’ajoute l’heureuse nouvelle de la prolongation de l’éco-PTZ jusqu’à la fin de 2027, accompagnée d’une procédure simplifiée de souscription pour les syndicats de copropriétaires.
Des aides amplifiées pour des logements revitalisés
Le gouvernement n’a pas lésiné sur les moyens pour propulser MaPrimeRénov’ dans une nouvelle dimension. Le montant de l’aide fait un bond spectaculaire, s’élevant jusqu’à 70 000 euros pour les ménages les plus modestes. Cela représente une couverture pouvant atteindre 90 % du coût des travaux, un avantage non négligeable qui, auparavant, plafonnait à 35 000 euros.
Les perspectives se dédoublent avec la mise en place de deux parcours d’assistance distincts. Le premier embrasse les rénovations d’envergure, favorisant un accompagnement par des professionnels et des subventions attrayantes, notamment pour les bâtisses les plus énergivores. Les ménages engagés dans cette voie pourront prétendre à un taux de financement de base de 80 %, couvrant des travaux dont l’assiette est comprise entre 40 000 et 70 000 € hors taxes.
L’initiative gouvernementale ne s’arrête pas là. Le budget alloué à MaPrimeRénov’ est revu à la hausse, s’élevant à cinq milliards d’euros, pour une amplification de 1,6 milliard, conformément aux prévisions du Projet de Loi de Finances. Le message est limpide : les autorités aspirent à une simplification et un renforcement du dispositif, propulsant les ménages vers des rénovations cohérentes et consistantes.
“Nous allons inciter les ménages à réaliser au moins deux types d’interventions, spécialement pour les habitations les plus déperditives en énergie,” souligne-t-on dans l’entourage d’Agnès Pannier-Runacher.
Une riposte plus forte contre les habitations énergivores
Un autre pan de cette stratégie s’attaque au fléau des passoires thermiques, améliorant significativement le confort estival des logements. Les travaux éligibles s’étendent désormais aux équipements favorisant une meilleure résistance à la chaleur, à l’instar des ventilateurs et des pompes à chaleur air-air. Ce souci du détail témoigne de l’engagement résolu pour une transition énergétique inclusive.
En conclusion, MaPrimeRénov’ se dresse comme un pilier central des efforts de la France pour atténuer sa consommation d’énergie et ses émissions de gaz à effet de serre. Cette nouvelle itération du programme promet une ère de renouveau pour les bâtiments français, dessinant un horizon énergétique plus vert et accessible à tous. Les propriétaires sont invités à embrasser cette opportunité pour redéfinir l’espace et l’efficience de leur logement.
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